
Photo d'archives
Il s’agit du Réseau des journalistes pour la promotion de l’eau
potable et l’assainissement (Rejepa-Mali) et de l’Alliance des journalistes
maliens en faveur de la nutrition et de la sécurité alimentaire (AJMNSA)
La rencontre a permis de
passer en revue ces plans d’actions et de les mettre à jour, tout en mettant
l’accent sur le suivi des investissements publics en matière de Wash (hygiène
et eau) et de nutrition. Mais aussi d’avoir une stratégie d’intensification de
l’information et de la communication sur le suivi des investissements publics.
Le coordinateur des
programmes de l’Omaes, Massamba Sinamba, a expliqué que cette année, il
s’agissait de passer en revue les différents plans élaborés et de procéder à
l’identification d’autres actions pertinentes devant être mises en œuvre en
2023 par les deux réseaux. Pour lui, les questions d’eau, d’assainissement et
de nutrition doivent être traitées sous l’angle du droit. Le représentant
des partenaires techniques et financiers, Soboua Diarra, a estimé que le rôle
des journalistes est important dans la mobilisation communautaire pour
influencer les décideurs.
Dr Djibril Bagayogo,
coordinateur du système alimentaire, a invité les journalistes à pousser les
candidats aux élections à inscrire la problématique de la nutrition dans leur
plan de campagne.
Mme Fanta Diakité,
porte-parole des deux réseaux, a reconnu que la rencontre leur a permis de
montrer leurs forces et faiblesses. Et d’ajouter que c’est l’occasion de procéder
à l’identification d’autres actions pertinentes pour aller de l’avant. Au Mali,
la crise politique, institutionnelle, sécuritaire et la survenance de la
Covid-19 ont influé la prévalence de la malnutrition aiguë (Mag) estimée à 7,2%
avec 1,3% pour la forme sévère (Mas) et 23,9% pour la malnutrition chronique,
selon l’enquête nationale Smart 2020.
Pour Wash, le taux d’accès à l’eau
potable en 2019 est de 69,2% au niveau national (65,8% en milieu rural et 77,7%
en milieux urbain et semi urbain) contre 39% en assainissement de base (29% en
milieu rural et 53% en milieu urbain).
La nutrition n’est financée
qu’à hauteur de moins de 1% du budget d’État et le taux de financement du Wash
représentait 2.62% en 2018 contre 1,23% en 2017 avec une priorisation du milieu
urbain par rapport au milieu rural.
Fatoumata NAPHO
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