Le secrétaire général du ministère en charge de l’Enseignement supérieur, Moussa Tangara (g) et le directeur général de l’établissement, Kélétigui Daou
La réunion était présidée par le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Moussa Tangara. C’était en présence du directeur général de l’établissement, Kélétigui Daou, et de la quasi totalité des administrateurs. Au cours de la session, les administrateurs ont examiné les différents documents soumis à leur approbation, notamment le rapport d’activités et le budget de l’année 2024, ainsi que le projet de budget 2025, le contrat de performance au titre de l’année académique 2025 et le budget prévisionnel de l’exercice en cours.
Le secrétaire général du département en charge de l’Enseignement supérieur a déclaré que l’ENI-ABT poursuit sa restructuration entamée à partir de l’année académique 2022-2023 avec son basculement dans le système LMD (Licence-Master-Doctorat). Et d’expliquer que son entrée dans ce système constitue un changement de paradigme et d’approche sans toucher à sa vocation première de formation des ingénieurs dans les domaines aussi variés que l’industrie, les mines, l’eau, l’environnement, l’information et la communication. Ajoutant que l’adaptation au système LMD reste toujours un défi à relever.
«L’installation du service de scolarité qui doit générer un plus grand nombre d’évaluations est d’urgence. Sur le plan de la gestion et de la gouvernance, l’ENI-ABT fonctionne avec des outils adéquats. Il s’agit du plan stratégique 2020-2024 en phase de renouvellement, du manuel de procédures administratives et comptables, du contrat de performance renouvelé chaque année dans le cadre du budget en mode programme», a-t-il souligné.
Par ailleurs, Moussa Tangara a indiqué que la modernisation de l’école et l’automatisation des tâches seront au cœur des actions dans les années à venir. En ce sens, il citera le développement et la mise en place d’un logiciel de gestion administrative, financière et pédagogique qui, dit-t-il, permettra de réduire les délais d’assurer la fiabilité, la précision et d’augmenter la transparence. Et d’annoncer que cette année, les tests d’entrée ont permis de recruter 362 nouveaux étudiants dont 260 hommes, soit 71,82% et 102 femmes, soit 28,18%.
«Ce pourcentage des femmes parmi les admis à l’ENI-ABT est le plus élevé jamais enregistré », s’est-il réjoui. Globalement, les effectifs de l’école sont estimés à 2.305 étudiants répartis entre 1.855 hommes, soit 80,48% et 450 femmes, soit 19,52%. Et de déclarer que présentement, les ressources humaines de l’établissement pour faire face à cette mutation comporte un personnel enseignant, technique et administratif, mais aussi un personnel contractuel au nombre de 121. Ceci n’inclut pas les 9 recrues de l’année dernière.
De son côté, le directeur général de l’ENI-ABT a rappelé que le 14 avril prochain marquera les 86 ans révolus de son établissement. Selon Kélétigui Daou, les réformes qui sont entreprises doivent être menées en considération de ces années d’expériences. Au-delà des difficultés, l’établissement de formation en ingénierie maintient les efforts d’amélioration de la qualité de la formation. «C’est pour cette raison que les ressortissants de 8 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre nous font confiance pour la formation de leurs citoyens», a indiqué le boss de l’ENI-ABT.
Il a souligné que l’école tient régulièrement ses conseils de perfectionnement dans le but de satisfaire les exigences du milieu professionnel et contribuer au développement socio-économique du pays. Le dernier ayant été tenu du 27 au 29 décembre 2023 après celui du 26 au 28 février 2020. Et le directeur d’estimer qu’au plan de la construction des infrastructures, en plus des nombreuses réalisations de 2024 sur ressources propres, le projet de construction d’un bâtiment de trois niveaux a été finalisé pour un coût global de 414 millions de Fcfa. Pour sa construction, l’école a prévu dans son budget de cette année, une contribution de 20 millions de Fcfa et le gap sera recherché auprès des partenaires. L’établissement compte aussi sur la tutelle.
Tiedié DOUMBIA
Dans le cadre de la Journée internationale des migrants, célébrée le 18 décembre de chaque année, le ministre des Maliens établis à l’extérieur et de l’Intégration africaine, Mossa Ag Attaher, accompagné d’une forte délégation, a accueilli le mercredi dernier à l’Aéroport inte.
C’est le sentiment général qui se dégage au terme de deux journées d’échanges intenses consacrées à la célébration de la Journée internationale des migrants, édition 2025.
Le premier prix d’une enveloppe d’un million de Fcfa a été remporté par Cheick Siriman Sissoko. La 2è place est revenue à Virginie Dembélé pour un montant de 750.000 Fcfa. Et Elmeidy Ag Agaly a remporté le troisième prix, la somme de 500.000 Fcfa.
Pour aider les usagers à surmonter la crise énergétique, des entreprises locales comme ACCESS SA proposent des solutions. Son président directeur général, Dr Ibrahim Togola, invité central de la 14è édition du Ceo Talks du Réseau d’entrepreneuriat en Afrique de l’Ouest (REAO) – Mali,.
Le comité assure que l’année 2026 sera celle de la délivrance des premières signatures électroniques sécurisées dans notre pays.
Avec un investissement de 30 milliards de Fcfa, ce nouveau siège d’une capacité d’accueil de 911 salariés, sera construit sur une surface de 15.590 m2. Il comprendra trois tours dont une de 13 étages de 52,29 m de hauteur. La durée des travaux est fixée à 24 mois.