La ministre Oumou Sall Seck et le directeur du CFP de Sénou, Djibrilla Moussa
Les travaux, qui se sont déroulés dans les locaux du Centre, étaient présidés par la ministre de l’Entrepreneuriat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Oumou Sall Seck. C’était en présence du directeur du CFP, Sénou, Djibrilla Moussa. L’adoption de ce nouveau schéma organique est une recommandation issue de la 1ère session ordinaire du conseil d’administration du CFP de Sénou, tenue le 12 décembre 2024.
Les administrateurs l’ont souhaité en vue d’assurer le bon fonctionnement du Centre et ainsi lui permettre d’accomplir efficacement ses missions. «Plusieurs dossiers ont été examinés lors de cette session ordinaire, y compris le cadre organique», a rappelé la ministre Oumou Sall Seck, ajoutant qu’il avait été demandé au directeur d’y travailler pour prendre en compte les observations pertinentes. Aujourd’hui, a affirmé la présidente du conseil d’administration, il est question d’examiner et vérifier si les observations ont été considérées dans le document pour pouvoir passer à son adoption.
Selon la ministre chargée de la Formation professionnelle, ce cadre organique va permettre d’outiller le CFP de Sénou et d’étoffer ses effectifs. En effet, le centre a besoin de ressources humaines. «Le besoin réel est de 41 agents. Il faut mettre des personnes qualifiées à disposition et cela ne peut pas se faire sans ce cadre organique», a-t-elle justifié.
La ministre Oumou Sall Seck a, par ailleurs, souligné que la Transition a tenu à mettre dans ses priorités la formation professionnelle pour permettre d’avoir des jeunes bien formés qui peuvent servir l’État avec des compétences avérées dans tous les domaines. Selon elle, le CFP de Sénou joue ce rôle. Et dans cette dynamique, le centre a noué des partenariats, notamment avec une université en Chine qui offre des formations dans des secteurs innovants.
«Actuellement, un appel à candidatures est en cours et normalement, en septembre, les jeunes seront mis en route au nom du centre pour la Chine pour aller apprendre pendant trois ans. L’hébergement et les frais d’études sont pris en compte par les partenaires», a informé la cheffe du département en charge de la Formation professionnelle.
Fatoumata Mory SIDIBE
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.
