Cette rencontre visait à renforcer le rôle des jeunes dans le processus décisionnel en œuvrant pour l’adoption d’une loi qui leur garantira un quota de participation dans les Institutions politiques et publiques.
Pour le Préfet de San qui présidait la cérémonie d’ouverture, les jeunes représentent une force vive et un potentiel extraordinaire pour le développement de notre pays. Ils sont à l’avant-garde des changements sociaux, politiques et économiques. «Cependant, malgré leur poids démographique et leur contribution à la société, leur représentation dans les instances de décision politique reste largement insuffisante», a déploré Souleymane Tembely.
D’où l’organisation de cet atelier qui s'inscrit dans une dynamique de changement. «Ce quota, pour lequel vous militez, n’est pas une fin en soi, mais un moyen pour permettre à la jeunesse de contribuer de manière substantielle à la construction d’un avenir meilleur», a-t-il soutenu.
Pour le représentant du COCPJF, ce quota n'est pas un simple chiffre, il est le symbole de la place que mérite la jeunesse dans la gouvernance de notre pays. «Nous réclamons ce quota parce que malgré notre talent, notre détermination, trop d'obstacles et de barrières nous empêchent d'accéder aux postes de décision.
Ce quota est essentiel pour ouvrir la porte à nos idées, à notre vision et à notre énergie pour le Mali», a déclaré Biné Telly. Sans ce cadre législatif, la jeunesse restera à la périphérie des décisions qui concernent leur propre avenir, a-t-il ajouté.
Créé en 2021, le COCPJF est un regroupement composé de plusieurs organisations de jeunesse et de femmes.
Bembablin DOUMBIA
Dans leur lutte continue contre le terrorisme, les Forces armées maliennes (FAMa) ont, une fois de plus, démontré leur détermination en détruisant plusieurs bases ennemies lors d’opérations ciblées menées simultanément dans le sud du pays et dans la Région de Tombouctou..
Dans leur marche vers la souveraineté et l’indépendance totale, les pays membres de la Confédération des états du Sahel (AES) ont officiellement annoncé leur sortie de la Cour pénale internationale (CPI) et la création de la Cour pénale et des droits de l'Homme du Sahel (CPS-DH)..
Outil essentiel de promotion et de financement des projets structurants dans les secteurs stratégiques, la BCID-AES démarrera avec un capital initial de 500 milliards de Fcfa.
L’initiative vise à bâtir un système de santé unifié et solidaire qui permettra d’améliorer la santé des populations par l’harmonisation des politiques, le partage des ressources et la coordination des efforts sanitaires.
Les pays membres de la Confédération des états du Sahel (AES), dans leur marche vers la souveraineté, ont reconnu la nécessité de s’unir autour de médias communautaires pour garantir une diffusion d’informations claires, fiables et adaptées aux aspirations de leurs citoyens. Ainsi, des p.
Outre la Télévision, une radio et une Web TV dédiées à la Confédération AES ont été mises en place pour rehausser la communication institutionnelle et communautaire autour de l’idéal confédéral.