Cette rencontre visait à renforcer le rôle des jeunes dans le processus décisionnel en œuvrant pour l’adoption d’une loi qui leur garantira un quota de participation dans les Institutions politiques et publiques.
Pour le Préfet de San qui présidait la cérémonie d’ouverture, les jeunes représentent une force vive et un potentiel extraordinaire pour le développement de notre pays. Ils sont à l’avant-garde des changements sociaux, politiques et économiques. «Cependant, malgré leur poids démographique et leur contribution à la société, leur représentation dans les instances de décision politique reste largement insuffisante», a déploré Souleymane Tembely.
D’où l’organisation de cet atelier qui s'inscrit dans une dynamique de changement. «Ce quota, pour lequel vous militez, n’est pas une fin en soi, mais un moyen pour permettre à la jeunesse de contribuer de manière substantielle à la construction d’un avenir meilleur», a-t-il soutenu.
Pour le représentant du COCPJF, ce quota n'est pas un simple chiffre, il est le symbole de la place que mérite la jeunesse dans la gouvernance de notre pays. «Nous réclamons ce quota parce que malgré notre talent, notre détermination, trop d'obstacles et de barrières nous empêchent d'accéder aux postes de décision.
Ce quota est essentiel pour ouvrir la porte à nos idées, à notre vision et à notre énergie pour le Mali», a déclaré Biné Telly. Sans ce cadre législatif, la jeunesse restera à la périphérie des décisions qui concernent leur propre avenir, a-t-il ajouté.
Créé en 2021, le COCPJF est un regroupement composé de plusieurs organisations de jeunesse et de femmes.
Bembablin DOUMBIA
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.