La rencontre s’inscrivait dans le cadre de l’appropriation de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption par les Organisations de la société civile (OSC), ainsi que des rapports 2023 des structures de contrôle et de lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite. Ces deux phénomènes représentent un réel casse-tête dans notre pays.
C’est pourquoi, le gouvernement a inscrit dans ses politiques la question de la lutte contre la corruption et particulièrement dans l’Administration publique, mais aussi au niveau de la justice et des collectivités, entre autres. Pour relever le défi de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite, plusieurs textes législatifs et réglementaires ont été adoptés pour circonscrire ces fléaux qui gangrènent la société.
Les échanges ont permis d’informer et de sensibiliser les populations en général. Mais aussi les femmes, les jeunes et les autres couches vulnérables en particulier sur l’impact de la corruption et l’enrichissement illicite. L’objectif étant de mener des actions de plaidoyer auprès des autorités pour les endiguer.
Il s’agissait aussi de renforcer les capacités des acteurs locaux en matière de prévention, de détection et de dénonciation de corruption, de faciliter l’implication effective des OSC et des organes de veille citoyenne dans la mise en ouvre de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption et la délinquance financière au niveau local.
Ces échanges ont été soutenus par le Projet d’appui à la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite (Luccei) sur financement de l’ambassade du Royaume des Pays-Bas et du Danemark, et mis en œuvre au Mali par le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). C’est en collaboration avec le consortium anti corruption, sous le leadership de la Coalition des organisations de la société civile pour la lutte contre la corruption et pauvreté (COSCLCCP).
Il faut rappeler que le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, a clairement exprimé son engagement à lutter contre la corruption sous toutes ses formes, pour une gouvernance économique et financière pure.
La rencontre d’échanges était placée sous la présidence du gouverneur de la Région de Koutiala, le Général de division Abdoulaye Cissé.
Ibrahim DEMBELE / AMAP - Koutiala
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