
Cela afin de maintenir les activités de production, de distribution et de services au bénéfice de la population malienne. Cette déclaration a été faite lundi dernier au cours d’une rencontre organisée à cet effet au siège du CNPM.
«Le CNPM invite les acteurs économiques de notre pays à engager sans délai la réflexion sur le processus de transformation structurelle de notre économie basée sur la valorisation de nos matières premières, afin d’accroître substantiellement les capacités à répondre aux besoins de base de nos populations» indique le patronnat, ajoutant que ces sanctions infligées à notre pays déjà en proie à la recrudescence du terrorisme, aux conséquences de la maladie de la Covid-19 sur les activités économiques risquent d’impacter sévèrement le secteur privé malien.
Selon le CNPM, les chefs d’État ouest-africains n’ont certainement pas pris en compte la situation économique très difficile du Mali et la complexité de la crise multidimensionnelle à laquelle il est confronté depuis plus d’une décennie pour imposer ces sanctions. Toutefois, le CNPM encourage les autorités de la Cedeao et du Mali à maintenir le dialogue et à œuvrer à une solution rapide de sortie de crise.
Babba COULIBALY
La 1ère session du comité national de pilotage de l’étude d’élaboration de la Stratégie de développement spatial pour le Sahel (SDSS) et du Plan d’action stratégique territorial de la zone transfrontalière du Liptako-Gourma (PAST-LG) se tient depuis hier dans un hôtel de Bamako..
Les premières plaques issues de la nouvelle procédure d’immatriculation et de réimmatriculation ont commencé à circuler le 22 septembre 2024. De cette date au 28 février 2025, 24.963 véhicules ont été immatriculés.
Face à la recrudescence des mauvais comportements de certains usagers dans la circulation routière, la 2è session ordinaire du conseil d’administration de l'Agence nationale de la sécurité routière (Anaser), tenue le 23 février 2011, avait recommandé d’organiser tous les 24 mars, une Jou.
La surcharge accélère l’usure des véhicules, réduisant ainsi leur durée de vie et augmentant les frais d’entretien. L’État a pris des mesures pour non seulement préserver le réseau routier, mais aussi garantir des conditions de travail durables aux transporteurs et chargeurs.
En plus de la dégradation précoce du réseau routier national, la circulation des gros porteurs hors normes et gabarits entraine d’autres désagréments en milieu urbain comme les accidents. Par peur, les usagers évitent très souvent de dépasser ces véhicules surchargés..
Face au retard constaté dans la mise en œuvre du Règlement n°14 visant à sauver le réseau routier dans l’espace Uemoa, notre pays a pris ses responsabilités en définissant ses propres normes, en accord avec les réglementations internationales.