C’est le cas de Gaoussou Sako
qui aura consacré toute sa vie au service du Mali. Son brillant parcours et ses
excellents services rendus à l’État lui ont valu une décoration qu’il arborait
fièrement de son vivant.
Né
le 11 mai 1938, il aura consacré toute sa vie au service de l’État et
particulièrement de la justice malienne. Magistrat de renom, il a occupé
plusieurs postes stratégiques pour la vie de la Nation.
Il a été le premier
président de la Cour de sûreté de l’État, puis contrôleur d’État, avant d’être
conseiller à la Cour suprême et à la Présidence du gouvernement. Son expertise
et son engagement durant son parcours professionnel l’ont conduit à recevoir le
titre de Commandeur de l’Ordre national du Mali.
Une
distinction honorifique qui est le reflet de son engagement et de son
dévouement au service de son pays : le Mali. Mais aussi une reconnaissance
inestimable de ses efforts au niveau des différents postes qu’il a occupés.
Gaoussou Sako aura imprimé sa marque partout où il a servi durant de longues
années.
Le 26 décembre 2024, ce grand commis de l’État a tiré sa révérence. Le Mali a ainsi perdu un homme d’une grande rigueur et intégrité. Père de cinq enfants et époux dévoué, son héritage restera marqué dans les institutions de la République qu’il a servies avec honneur et dévouement jusqu’à son départ à la retraite.
Dieudonné DIAMA
Cette décision du Conseil des ministres intervient quelques jours après l’échec d’un meeting de groupements de partis politiques et à la veille d’un autre annoncé pour ce vendredi à la place de l’indépendance. De son côté, un groupe de jeunes leaders se réclamant de la société ci.
Cinq textes dont celui déterminant les conditions et les modalités d’emploi des langues officielles du Mali ont été votés hier par les membres de l’organe législatif de la Transition. Et deux autres ont été renvoyés à la prochaine séance pour complément d’informations.
Après le décès de sa 2è vice-présidente survenu le 1er avril, le Conseil national de Transition (CNT) est à nouveau endeuillé par la disparition d’un autre de ses membres en la personne de Mohamed Ould Sidi Mohamed dit Zibdi. L’homme nous a quittés le samedi 19 avril à Bamako des suites.
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Le Président de l’organe législatif, le Général de corps d’armée Malick Diaw, a saisi l’occasion pour dénoncer l’implication inacceptable du régime algérien dans la destruction d’un aéronef des FAMa sur le territoire malien.
Présente à tous les combats au nom des personnes vivant avec le handicap, la défunte a su transformer sa «faiblesse» en atout. Au profit de la société.
