Le BMK RH
Consulting a organisé, hier dans un hôtel de la place, le 2è comité de pilotage
de «Geres Mali». La cérémonie a été présidée par le directeur national adjoint
de l’énergie, Adama Yoro Sidibé, en présence de la représentante pays de Geres
Mali, Aïssata Tall et du représentant de l’ambassade de Suède au Mali,
Sourakata Coulibaly.
À travers
différentes initiatives, le Geres Mali et ses partenaires locaux
(collectivités, organisations paysannes) tentent de répondre aux besoins
énergétiques des acteurs en proposant des alternatives rentables et durables.
Financé par l’ambassade de Suède et la Délégation de l’Union européenne au
Mali, il participe ainsi à l’atteinte des objectifs de la Politique énergétique
nationale et des différentes stratégies de mise en œuvre en la matière,
notamment la promotion des énergies renouvelables et de l’électrification
rurale.
Le taux
d’électrification du pays reste un peu plus de 56% au niveau national et autour
de 30% au niveau rural. Des efforts seront multipliés pour l’atteinte de
l’objectif d’accès universel à l’énergie, a dit Adama Yoro Sidibé. Selon lui,
l’intervention est ciblée sur les besoins des Petites entreprises (TPE) rurales
et des activités génératrices de revenus (AGR). En effet, le développement
économique des territoires enclavés ne pourrait se faire sans une énergie de
qualité et en quantité pour les acteurs productifs, contribuant à la création
locale de valeur ajoutée et d’emplois, a soutenu Adama Yoro Sidibé.
Aïssata
Tall a expliqué que ce projet s’inscrit dans la continuité des actions débutées
en 2014 et qui ont abouti à la construction de la première Zone d’activités
électrifiées (ZAE) à Konséguela. C’était pour fournir à des TPE rurales, un
accès à une électricité de qualité et de les accompagner dans le développement
économique de leurs activités. La représentante pays ajoutera que ce comité de
pilotage présentera les évolutions des activités entreprises, ainsi que
l’impact du retrait du partenaire financier (l’ambassade de Suède) et son
remplacement par la Délégation de l’Union européenne au Mali.
Ainsi,
l’Union européenne confirme son engagement à soutenir le Geres. «Ceci est une
coopération et n’a rien à avoir avec la politique. Cet appui de l’UE va
permettre de nouvelles ZAE et d’accompagner le projet qui nous réunit. Ce
partenariat s’inscrit dans le cadre du plan d’actions 2024 afin d’améliorer la
résilience économique», a déclaré Michel De Knoop, premier conseiller à la
Délégation de l’Union européenne.
Le Geres,
solidarité climatique en action, intervient depuis 2007 au Mali sur les thèmes
de l’accès à l’énergie en milieu rural, l’efficacité énergétique et
l’amélioration des conditions de vies des populations, à travers plusieurs
initiatives. Les bénéficiaires directs du projet sont huit collectivités
locales, 80 entrepreneurs installés dans les ZAE en phase II, 12 groupements
maraîchers féminins (environ 600 femmes), 24 initiatives locales (bas carbone)
soutenues, dont au moins 16 portées par des jeunes ou des femmes… Geres, c’est
aussi 375 emplois indirects consolidés en année trois du projet et 600 ménages
(soit 4.200 personnes) auxquels appartiennent les femmes bénéficiaires directs
des périmètres maraîchers.
Aminata DJIBO
Rédaction Lessor
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