
Les performances des candidats ont été jugées globalement satisfaisantes
La cérémonie était présidée par le secrétaire général du ministère de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie hôtelière et du Tourisme, Mahamadou dit Koumbouna Diarra, qui a salué l’engagement des participants. «Il n’y a ni gagnant ni perdant, car chaque participation est une victoire pour l’Afrique», a-t-il déclaré. Pour cette édition, six établissements secondaires et quatre écoles supérieures ont pris part aux deux concours, réunissant une soixantaine de participants. Le président du jury, Djibrila Maïga, a précisé que le parcours pédagogique vise à sensibiliser les jeunes aux idéaux panafricains, à travers des épreuves portant sur l’histoire, la culture et l’identité africaine. Le concours s’est déroulé en ligne, et les performances des candidats ont été jugées globalement satisfaisantes.
Mme Maïga Mariam Maïga a exprimé sa satisfaction quant au bon déroulement de l’événement et réaffirmé l’engagement de son institution à promouvoir les valeurs culturelles africaines auprès de la jeunesse. Elle a remercié l’ensemble des partenaires pour la réussite de l’événement. Ainsi, les meilleurs candidats ont été récompensés. Pour le concours littéraire, le premier prix a été remporté par Awaïssou Aboubacar de l’École normale supérieure (ENSUP), Issa Guindo de la Faculté des lettres et des sciences du langage (FLSL) a occupé la 2è place et le 3è prix est revenu à Aminata Diakité de l’École supérieure de journalisme et de communication.
Quant au Parcours pédagogique, Anzoumane B. Tigana du Lycée Askia Mohamed a occupé la plus haute marche du podium. Il est suivi respectivement de Moussou Mady Keïta du Lycée public de Ouélessébougou et Binta Dem du Lycée Bassan Barry. Il est utile de préciser que des prix spéciaux ont également été décernés à certains candidats, établissements et personnalités pour leur implication exceptionnelle. En marge des finales, une conférence-débat, animée par le journaliste Salif Sanogo, a permis de donner une profondeur intellectuelle à l’événement. Le thème de son exposé était : «L’identité culturelle africaine, socle de l’intégration des peuples d’Afrique».
Dans son exposé liminaire, le journaliste a mis en lumière l’essence d’une véritable unité du continent. Selon lui, l’identité culturelle n’est ni figée ni monolithique, elle est plurielle et dynamique. C’est un processus en constante construction. Et le conférencier d’appeler à une déconstruction du «complexe culturel» vis-à-vis de l’Occident au profit des légitimités traditionnelles et des langues locales qui sont considérées comme des vecteurs puissants d’intégration. Il a aussi dénoncé la marginalisation de la culture africaine dans les politiques publiques.
«Perdre sa culture, c’est perdre ses racines», a souligné Salif Sanogo, avant d’exhorter la jeunesse à s’approprier les valeurs africaines, condition sine qua non pour une véritable souveraineté culturelle.
Gaoussou TANGARA
Rédaction Lessor
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