Plus de 10 pays africains dont le Mali sont
attendus du 2 au 4 juin prochain à Paris pour prendre part au Salon de
l’immobilier et de l’investissement en Afrique (SIIA). L’évènement doit
enregistrer la participation de plus de 100 exposants et de plus de 5.000
visiteurs. Cette information a été donnée au cours d’une conférence de presse
organisée par la société Ethik agency, jeudi dernier, dans un hôtel de la
place. C’était en présence du président de cette société, Moussa Coulibaly, et
du trésorier général de l’Association des promoteurs immobiliers du Mali
(Apim), Mamadou Coulibaly.
L’objectif de cet événement qui est à sa 6è édition
est de pouvoir créer un espace d’échanges entre les professionnels de
l’immobilier et la diaspora installée en Europe. Il ambitionne de trouver des
solutions aux nombreux problèmes immobiliers de la diaspora africaine. Le SIIA
réunira des participants de divers horizons venus d’Afrique et du reste du
monde autour des expositions, des conférences et des networking. Ce Salon sera
un lieu de rencontre des investisseurs et un carrefour du donner et du
recevoir.
«Notre cible, c’est la diaspora africaine qui
veut investir en Afrique. Nous allons trouver des professionnels qui sauront
les orienter et les guider», a déclaré le président de l’Ethik agency. Selon
Moussa Coulibaly, ce Salon est le plus grand rassemblement de l’immobilier africain,
parce que c’est la première fois qu’une dizaine de pays se réunissent sur un même
espace pour offrir ce qu’ils ont de l’immobilier. «Sur un espace, nous allons répondre
à tous les besoins en ce qui concerne l’immobilier africain. C’est ce qui fait
la spécificité de cette édition», a-t-il expliqué avant de rappeler que les 5 éditions
passées ont porté sur l’immobilier malien. Cette fois-ci, soulignera-t-il, l’édition
mettra l’accent sur l’immobilier africain et va regrouper des professionnels du
secteur et des investisseurs.
Le trésorier général de l’Apim a expliqué que
les consultants de la diaspora sont dans un dilemme. «Ils ne savent pas comment
attirer les biens au Mali. Et en fonction de nos réalités, nous essayons de
voir comment on peut leur faire accéder à un toit», a déclaré Mamadou
Coulibaly. Et de révéler que la majeure partie de nos concitoyens ont été
confrontés aux dilemmes de la manipulation et au bout du compte, ils se rendent
compte que rien n’a été réalisé. Pour lui, c’est pour ne pas rester dans cette
situation inconfortable que ce Salon doit avoir lieu.
«Notre rôle en tant qu’association, c’est de promouvoir cette opportunité. Notre objectif est de donner une visibilité à nos acteurs en présentant leur produit. Ce Salon nous aidera à chercher le financement, trouver le titre foncier et le bon emplacement», a précisé le trésorier de l’Association des promoteurs immobiliers du Mali. Et de noter que ce SIIA abordera les enjeux de l’élargissement de l’accès et de l’offre de logements abordables.
Fatoumata Mory SIDIBE
Des militaires en Guinée-Bissau ont annoncé, ce mercredi 26 novembre, avoir pris « le contrôle total du pays », suspendu le processus électoral et fermé les frontières. Dans la matinée, des tirs ont été entendus près du palais présidentiel à Bissau, où des soldats ont également pris .
Dans le cadre de la surveillance du territoire, le 25 novembre 2025, les vecteurs aériens des Forces armées maliennes (FAMa) ont repéré et neutralisé avec efficacité un important dépôt de carburant appartenant à des groupes terroristes, situé à 19 km au nord de Sofara, dans la Région de .
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet «Femmes maliennes mobilisées pour le climat, la paix et la sécurité», la Coalition malienne genre, sécurité et changement climatique (Comagesc) a organisé, vendredi dernier dans les locaux de l’antenne de la Coalition à Banankabougou, un atelie.
Le Projet de restauration des terres dégradées au Mali (PRTD-Mali) a tenu hier, dans un hôtel de la place, la 3è session ordinaire de son comité de pilotage..
Le ministre de la Réconciliation, de la Paix et de la Cohésion nationale, le Général de corps d’armée Ismaël Wagué, a présidé lundi dernier, au sein de son département, la 7è session du Comité d’orientation et de pilotage du Projet communautaire de relèvement et de stabilisation au .
Il ressort des données relevant d’une étude dans le cadre du Programme ASWA que 45% de la population dans notre pays n’y ont pas accès. La même source indique que 25% de nos compatriotes ne disposent pas d’eau potable.