Remise
d’attestation à un participants
La journée
de clôture a été marquée par une session de formation sur le thème : «L’écoute
active dans les services techniques : transformer les réclamations en opportunités»,
animée par un expert à la Société malienne de transmission et de diffusion
(SMTD-SA), Diabé Bathily. Cette formation a mis en lumière l’importance d’une
communication bienveillante et constructive dans la relation avec les usagers.
«Une réclamation n’est pas un échec, c’est une chance d’améliorer notre service
et de renforcer la confiance du public», a souligné le conférencier.
À travers
des exercices pratiques et des échanges d’expériences, les participants ont
appris à transformer chaque plainte en levier d’amélioration continue. Le
moment fort de la cérémonie a été la remise des certificats «Service possible»,
récompensant les participants pour leur engagement à faire évoluer la qualité
du service au Mali. Ces distinctions symbolisent non seulement la fin d’une
semaine d’apprentissage intense, mais aussi le début d’un nouvel état d’esprit
tourné vers la satisfaction des usagers. Dans son discours de clôture, la
promotrice de Bamako Service Week, Fanta Konaté, n’a pas caché sa fierté devant
la réussite de cette 1ère édition. «Chers partenaires et amis du service et de
l’excellence, nous voici à la fin de cette 1ère édition. Et quelle semaine
exceptionnelle ! Nous avons prouvé que le service, lorsqu’il est pensé avec le
cœur et l’exigence, peut transformer une simple interaction en une relation
durable», a-t-elle déclaré. Elle a aussi tenu à exprimer sa reconnaissance
envers les nombreux partenaires qui ont soutenu l’événement, notamment le
ministère de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation
de l’Administration ainsi que plusieurs institutions et entreprises locales.
Fanta
Konaté a également salué la contribution des bénévoles, journalistes, artistes,
startups et étudiants ayant pris part à cette initiative. Et de rappeler les symboles
forts qui ont accompagné la semaine : l’étoile dorée pour l’excellence, la clé
pour l’accès et l’emploi honnête, le cœur pour la passion et la chaleur
humaine, la rose pour la gratitude et le Smartphone pour la modernité. «Ces
symboles ne sont pas de simples icônes, mais les piliers d’un service à la
malienne : exigeant, inclusif, humain, connecté et porteur de sens», a relevé
l’initiatrice de Bamako Service week.
Organisée
en moins de 30 jours, Bamako Service Week a su relever le défi. Une «mission
possible», selon Fanta Konaté, qui espère faire de cet événement un rendez-vous
annuel dédié à la promotion d’un service public et privé de qualité au Mali.
«Cette exposition m’a vraiment impressionné. J’espère que les prochaines éditions verront la participation de plus d’entreprises, car c’est une belle opportunité d’apprentissage et d’échange», a témoigné l’informaticien et entrepreneur, Sidi Diaw, participant à la session.
Gaoussou TANGARA
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
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