Inauguration des ouvrages par l’équipe en charge des œuvres sociales
Le conseiller
spécial du président de la Transition, chargé des œuvres sociales, Aguibou
Dembélé, a procédé hier, à l’inauguration de ces ouvrages. Pour Aguibou
Dembélé, c’est un sentiment de fierté et d’espoir parce qu’à travers ses œuvres
sociales, le chef de l’État a voulu offrir de l’eau potable aux populations les
plus reculées qui n’ont pas de sources d’eau potable.
«Le président de la
Transition veut magnifier sa solidarité et son patriotisme envers le peuple
malien en général et les plus démunis en particulier», a-t-il expliqué. L’eau
étant devenue un luxe en cette période de canicule, le conseiller spécial du
président de la Transition a invité les bénéficiaires à prendre soin de ces
forages car la demande en eau potable est forte sur toute l’étendue du
territoire national. Aguibou Dembélé a expliqué qu’une équipe est mise en place
pour faire des prospections afin d’identifier ceux qui ont le plus besoin d’eau
potable.
Les femmes de Dialakorodji ont manifesté leur joie en offrant un gros poisson «capitaine» au colonel Assimi Goïta. Quant aux habitants de Sabalibougou Dougourakôrô Plateau, ils ont offert des graines de haricot à la délégation chargée des œuvres sociales du président de la Transition.
Jessica K. DEMBELE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.