Les membres du présidium lors de l’ouverture des travaux
C’était sous la présidence du gouverneur de la Région, le colonel-major Abass Dembélé, en présence de plusieurs personnalités dont le secrétaire exécutif du Haut conseil national de lutte contre le Sida, Dr Ichaka Moumoune Koné et des représentants des structures et organisations intervenant dans le domaine de la lutte contre le VIH/Sida au Mali.
Cette rencontre de trois jours qui a aussi mobilisé l’ensemble des acteurs régionaux et locaux, avait pour objectif global de faire le point sur la mise en œuvre de l’Initiative :«Mopti, région résiliente sans Sida, je m’engage» et dégager des pistes pour une meilleure atteinte des cibles.
Elle a permis aux participants d’évaluer les progrès réalisés vis-à-vis des valeurs de base et des cibles fixées pour 2021 et 2022 en termes de dépistage, de traitement et de suppression charge virale pour chaque district sanitaire. Il s’agissait aussi d’avoir une vision des principales interventions des acteurs en termes d’activités, de résultats clés, de partenaires de mise en œuvre, de zone d’interventions, de ressources financières et de contraintes/difficultés et de tirer les leçons des deux années de mise en œuvre de l’Initiative. La cérémonie d’ouverture des travaux a été marquée par plusieurs interventions dont celle du directeur Pays de l’ONUSIDA qui a réitéré l’engagement du Système des Nations unies à jouer sa partition aux côtés du gouvernement malien. Dr Marc Saba a indiqué que tous les acteurs doivent saisir l’Initiative «Mopti, Région résiliente sans Sida, je m’engage» comme une opportunité pour expérimenter des approches régionales et locales en vue de matérialiser les orientations de la nouvelle stratégie mondiale de lutte contre le VIH/Sida 2021-2026 et celle de l’horizon 2030.
«Le VIH/Sida constitue un problème de santé publique au Mali auquel les autorités œuvrent à alléger le fardeau et la souffrance des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) à travers la politique de gratuité, ce qui a permis la prise en charge d’un grand nombre de PVVIH, la diminution progressive de la prévalence et de l’incidence du VIH mais aussi du nombre de décès lié au VIH/Sida» a rappelé le secrétaire exécutif du Haut conseil national de lutte contre le Sida. Dr Ichaka Moumoune Koné a affirmé que cette initiative demeure une opportunité à saisir pour mobiliser au plus haut niveau de l’État le soutien politique et financier pour la mise en œuvre de cette approche dans la lutte contre le VIH/Sida. Le chef de l’exécutif régional, le colonel-major Abass Dembélé, a salué la tenue de cet atelier et remercié l’ensemble des partenaires pour le soutien à l’Initiative «Mopti, Région résiliente sans Sida, je m’engage».
En plus des discours, la cérémonie d’ouverture a aussi été marquée par une prestation de la chorale des PVVIH de la Région de Mopti. Il y a eu également un plaidoyer pour la construction d’un siège et un appui financier pour venir en aide aux personnes déplacées internes vivant avec le VIH.
À l’issue des échanges, les participants ont recommandé la formalisation du cadre d’intervention du projet de l’initiative Mopti sans Sida, de développer des stratégies de mobilisation des ressources, de documenter et partager les expériences de bonnes pratiques.
Dramane COULIBALY / Amap - Mopti
Propre à la puberté, sa mauvaise gestion est marquée par un manque de communication avec les enfants, l’inaptitude à faire face à leurs problèmes personnels et des pratiques de maltraitance à leur égard. Ce qui peut souvent aboutir à des fugues régulières, des grossesses non désirées .
A l'issue des opérations menées hier vendredi, l'ėtat-major général des Armées a indiqué dans un communiqué rendu public ce samedi que des terroristes regroupés ont été neutralisés en plus de la destruction d'un véhicule camouflé.
Ce document stipule, entre autres, de mettre en place un outil de suivi des ressources spécifiquement réservées aux enfants, de porter le budget du ministère en charge de la Promotion de l’Enfant à au moins 3% du budget national. La note dit d’augmenter aussi les dépenses de santé à au m.
Le 18 novembre 2025, la Force unifiée de la Confédération des Etats du Sahel (AES) a conduit une frappe aérienne à Tabankort, à 8 km de la frontière nigérienne, sur la base de renseignements confirmant un rassemblement de terroristes dotés d’une importante logistique..
Renforcer les capacités analytiques et pratiques des acteurs locaux afin de leur permettre d’intégrer l’approche «sensibilité aux conflits» dans la planification, la gouvernance et la sécurité locale, améliorer la compréhension commune des enjeux sécuritaires et de gouvernance locale d.
«Tant qu’on aura pas réglé la crise de Kidal, le Mali n’aura pas la paix. C’est pourquoi, il faut tout faire pour restaurer l’État dans toutes ses dimensions dans la région», a déclaré Seydou Traoré lors du lancement de son livre.