Le Collectif se donne pour mission d’accompagner les autorités dans les réformes
Le Collectif se veut un mouvement de soutien à la Transition. Il se donne pour missions, entre autres, d’accompagner les autorités dans les réformes institutionnelles, économiques et sociales, de promouvoir la réconciliation nationale et la restauration de la paix sur l’ensemble du territoire. Mais surtout de soutenir sans réserve la Transition.
Selon son porte-parole parole, «GE-BEN-KA» est une contraction de mots désignant la paix dans plusieurs langues maternelles maliennes. Ajoutant que son collectif se veut être un acteur engagé pour un Mali souverain dans une Afrique libre. «C’est en hommage aux actes héroïques posés par les libérateurs de l’Afrique, notamment les autorités de la Transition du Mali que nous avons choisi d’agir en tant qu’acteurs engagés pour la souveraineté du pays», a déclaré Dr Alaye Diah.
En outre, le porte-parole a indiqué que sa création repose sur trois piliers essentiels à savoir l’unité, la solidarité et l’engagement. Il s’agit d’une initiative fédératrice réunissant divers acteurs sociaux et citoyens avec pour mission de contribuer à la construction d’un Mali fort, indépendant et prospère, a-t-il expliqué.
Pour lui, la Transition actuelle est perçue comme une opportunité unique pour instaurer une paix durable et reconstruire les institutions du pays. En ce sens, il dira que le Collectif GE-BEN-KA soutient pleinement les initiatives engagées, notamment les Assises nationales de la Refondation, le Dialogue inter-Maliens pour la paix, la réconciliation nationale et la cohésion sociale, dont l’une des résolutions phares est l’élaboration d’une Charte nationale pour la paix et la réconciliation.
Dr Alaye Diah a aussi indiqué que le GE-BEN-KA s’inscrit dans la lignée des principes établis par le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, notamment le respect de la souveraineté du Mali, celui des choix stratégiques du pays en matière de partenariat et le respect des intérêts vitaux du peuple malien et de son développement. «Nous réaffirmons notre engagement à leurs côtés et nous serons présents à chaque étape du processus de développement du Mali, dans un contexte géostratégique complexe au Sahel, en Afrique et dans le monde», a conclu le conférencier.
Gaoussou TANGARA
Rédaction Lessor
Le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme sont des menaces graves pour la stabilité financière mondiale et la sécurité internationale. Dans ce décryptage, le magistrat Yaya Traoré, membre de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif), parle des .
Le projet de budget prévisionnel 2026 de l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) s’élève en ressources et en emplois à la somme d’environ 8,20 milliards de Fcfa, contre 8,94 milliards de Fcfa en 2025, soit une baisse de 8,28%..
La ministre de l’Entrepreneuriat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Mme Oumou Sall Seck, a présidé hier la cérémonie d’ouverture de l’atelier de partage et d’appropriation des textes régissant l’emploi et la formation professionnelle. Ces travaux, qui dureront.
Le prix du «meilleur exportateur» a été décerné à la Compagnie malienne pour le développement des textiles (CMDT). La mine Fekola-SA / B2Gold a été consacrée «Leader à l’exportation», alors que l’entreprise Aminata Sidibé (qui transforme des céréales) a gagné le prix du «meill.
À l’instar d’autres pays, le Mali a célébré le 25è anniversaire de la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations unies sur femmes, paix et sécurité et le 30è anniversaire de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing..
À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre la corruption, célébrée chaque 9 décembre, le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, Mamoudou Kassogué, a présidé, hier, dans son département, la cérémonie de lancement de la Semaine nationale de lutte co.