On notait la présence du directeur du service social des armées, le colonel-major Bréhima Samaké et du coordinateur international du projet, Hener Papandick. Cette
session de formation est la quatrième du genre organisée dans ce Centre. L’objectif
est d’appuyer et accompagner le gouvernement dans sa politique de création
d’emplois, de formation, de réinsertion socioprofessionnelle et de lutte contre
le chômage...
Toute chose qui conforte le ministère en charge de l’Emploi et de la Formation professionnelle dans sa dynamique de promotion d’un développement inclusif et durable en faveur de la réduction de la pauvreté et des inégalités. «Dans cette vision, mon département s’engage dans le développement du capital humain sous-tendu par une formation de qualité qui est un des piliers du dividende démographique, privilégiant les opportunités qui offrent plus de perspectives d’emplois pour les jeunes.
Ce, en vue de réduire la pauvreté et combattre
l’insécurité grandissante, la criminalité, la radicalisation, l’exploitation et
l’extrémisme violent», a expliqué Tidiani Youba Diakité. Selon lui, le
développement humain durable commande pour chaque citoyen une vie digne et
l’accès à des services sociaux de base, notamment l’éducation, la santé et la
formation professionnelle pour un emploi décent. Il a remercié la Fondation
Klaus Tschira, pour la qualité de sa coopération avec la République du Mali.
Pour sa part, le directeur du service social des armées a situé cette 4è session de formation dans le cadre du partenariat entre le ministère de l’Entreprenariat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle et le ministère de la Défense et des Anciens combattants dans le domaine de la formation professionnelle des familles des militaires et paramilitaires. Le colonel-major Bréhima Samaké a souligné le but de cette formation, qui est de transmettre des connaissances théoriques et pratiques dans le domaine de la transformation des produits agricoles pour permettre à ces jeunes filles de mener des activités génératrices de revenus.
Le
colonel-major Bréhima Samaké a remercié le CAAS pour ce geste à l’endroit des
familles des militaires. «Vous contribuez activement à l’amélioration des
conditions de vie des militaires et de leurs familles en organisant ces sessions. Grâce
à votre accompagnement indéfectible, nous parvenons chaque année à assurer la
formation professionnelle des femmes des militaires, veuves et orphelins de nos
braves soldats morts pour la patrie», a-t-il salué.
Le directeur du CAAS, Alassane Boré, a indiqué que ces «50 filles ont suivi des séances pratiques et théoriques en vue d’améliorer leurs connaissances et d’acquérir des compétences professionnelles dans le domaine des métiers de la production agropastorale et alimentaire». Le coordinateur international ajoutera que cette formation doit leur ouvrir la voie des réalisations économiques et indépendantes. Hener Papandick a, par ailleurs, demandé aux filles d’utiliser davantage leurs énergies pour les activités génératrices de revenus.
La porte parole de la 4è promotion du Centre de transformation agroalimentaire a témoigné que cette formation a permis au groupe d’apprendre beaucoup sur le plan professionnel, social et éducatif. «En sortant d’ici, je suis convaincue que chacune de nous pourra être autonome, en réalisant des activités de maraîchage, de transformation agroalimentaire ou encore l’élevage», a déclaré Ya Diarra
Fatoumata Mory SIDIBE
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
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Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.