
Notre pays a célébré, dimanche 30 mars 2025, la fête de l’Aïd El Fitr sur toute l’étendue du territoire national. À Bamako et partout à l’intérieur, l’évènement a été consacré à la prière collective, aux bénédictions et au partage. En ce jour spécial pour la communauté musulmane du Mali marquant la fin du mois de Ramadan, chargé de privation, d’abstinence, de dévotion et de solidarité, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, a accompli son devoir religieux dans la salle de banquets du palais de Koulouba.
C’était en communion avec le Premier ministre, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, le Général de division, Abdoulaye Maïga, le Président du Conseil national de Transition (CNT), le Général de corps d’armée, Malick Diaw, les membres du gouvernement dont le ministre des Affaires religieuses, du Culte et des Coutumes, Mahamadou Koné. Ont également pris part à cette partie d’adoration et de soumission à Allah, les membres du corps diplomatique des pays de la Ouma islamique accrédité auprès de la République du Mali.
Dans son sermon, l’imam Dr Abdrahamane Touré a souligné l’importance de cette journée et la récompense espérée par les croyants musulmans. Aussi, il est revenu sur les mérites de la Nuit du destin avant de faire des bénédictions pour le Mali et les autorités de la Transition avec à leur tête, le Président de la Transition, le Général d’armée, Assimi Goïta.
À la fin de la prière, le Chef de l’État a saisi l’occasion pour souhaiter à toute la communauté musulmane du Mali et celle de la Confédération des États du Sahel ses vœux de santé, de bonheur et de prospérité. En sa qualité de Président en exercice de la Confédération regroupant le Burkina-Faso, le Mali et le Niger, le Général d’armée Assimi Goïta a eu une pensée pieuse pour le peuple de l’Alliance des États du Sahel (AES). Il a rappelé que le mois de Ramadan a été un moment de communion, de partage et de solidarité.
À ce propos, le Chef de l’État a exhorté ses compatriotes à renforcer davantage les liens de fraternité. Selon lui, le peuple a toujours fait preuve de cet élan. Il a imploré le Tout-Puissant Allah afin qu’il nous accorde sa grâce infinie et son pardon, d’accepter toutes nos prières et guider notre pays dans le chantier de la paix, de la prospérité et du développement.
En sa qualité de Président en exercice de la Confédération, le Général d’armée Assimi Goïta a eu une pensée pieuse pour le peuple de l’Alliance des États du Sahel (AES)
«L’année 2025 qui a été décrétée l’Année de la culture au Mali sera l’opportunité pour les Maliens de renouer avec nos valeurs socio-culturelles sans lesquelles aucune véritable refondation ne sera possible», a fait remarquer le Chef de l’État. Il a appelé à l’union sacrée et à la solidarité.
Les fidèles présents ont été salués à leur sortie de la salle de banquets par le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta.
Namory KOUYATE
Au Centre international de conférences de Bamako, deux experts de la Commission de rédaction du projet de Charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale, l’ancien ministre de la Défense et des Anciens combattants, le Général à la retraite Yamoussa Camara et l’universitaire D.
La Commission de rédaction du projet de Charte pour la paix et la réconciliation nationale, à un mois de la fin de sa mission, a fait hier le bilan de ses travaux..
Ce travail, mené par la Commission nationale de vulgarisation des symboles de l’État, a concerné le drapeau, l’hymne national, la devise, les armoiries et le sceau.
Enseignant-chercheur à la faculté de droit privé de l’Université Kurukanfuga de Bamako et secrétaire général adjoint de l’Association malienne de droit pénal, Dr Boubacar Bocoum, cogite sur l’arsenal juridique que l’État a mis en place pour lutter contre la cybercriminalité.
Dans nos échanges avec le procureur de la République du Pôle national de lutte contre la cybercriminalité, Dr Adama Coulibaly, a dit en substance que sa juridiction est compétente pour statuer sur les affaires en lien avec la Loi n°00-046 du 7 juillet 2000 portant régime de presse et d.
Intitulé «La Confédérale», cet hymne est une œuvre musicale et poétique qui incarne l’âme commune, les valeurs fondatrices et les ambitions collectives des peuples du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Composé de trois couplets et deux refrains, il se veut à la fois un repère identitair.