La session était co-animée
par le directeur général associé de l’Agence de digitalisation Voolinks,
Gabriel Alassane Traoré, et son directeur associé de recherche développement et
intégration, Antoine Diarra. L’objectif recherché étant de rassembler des
experts, professionnels et des passionnés de l’Intelligence artificielle pour
discuter des dernières tendances, défis et opportunités dans ce domaine en
constante évolution.
Pour les responsables de
Voolinks, cette conférence offre une occasion unique d’apprendre, de partager
des idées et de ressauter avec des personnes partageant les mêmes idées. La
rencontre visait également à sensibiliser le public sur l’importance de l’IA
dans notre vie quotidienne et à encourager une utilisation responsable et éthique
de cette technologie.
Il ressort de la note
d’information fournie à la presse que cette conférence permettra aux
participants d’explorer et de voir comment l’Intelligence artificielle et
l’analyse des données peuvent être appliquées à des projets concrets. Et, par
la même occasion, échanger sur les opportunités et les défis associés. Outre la
sensibilisation du public, la conférence a aidé à clarifier les enjeux,
opportunités et les risques liés à cette technologie.
«L’idée pour nous, c’est de
partager des expériences et des innovations avec notre public pour qu’on arrive
à mieux comprendre cette nouvelle technologie qui est mal perçue. On entend
beaucoup d’échos négatifs. On estime que toute innovation au début est généralement
mal comprise», a expliqué Gabriel Alassane Traoré. Pour le directeur général
associé de Voolinks, il y a un gros travail de sensibilisation et de démonstration
à faire autour de l’IA qui est une innovation sans limite.
Au cours de la conférence,
des outils de productivité permettant aux professionnels d’être plus
performants et plus rapides dans leur travail ont été présentés au public. Ces
outils de productivité sont des logiciels ou des applications qui aident les
utilisateurs à rester organisés, à gérer leur temps de manière plus efficace et
de travailler efficacement. Toute chose qui ne peut qu’améliorer leur
productivité globale. «Avec ces outils de productivité, on peut aujourd’hui
faire en une heure ou en quelques minutes, un rapport qui prenait trois à
quatre jours», a témoigné le conférencier.
Parmi ces outils de
productivité, il a cité ChatGTP qui est intégré à WhatsApp. Ce chabot utilise
l’apprentissage automatique pour comprendre le langage naturel et générer des réponses
en fonction des entrées de l’utilisateur. Il est capable de répondre à une
grande variété de questions et de sujets.
«L’Intelligence artificielle est une technologie qui permet aux machines d’apprendre et de s’adapter à partir de données. Elle est utilisée pour résoudre des problèmes complexes, automatiser des tâches et améliorer la prise de décision», selon Antoine Diarra. Selon le directeur associé de recherche développement et intégration de Voolinks, les données peuvent être collectées à partir de diverses sources telles que des capteurs, des appareils connectés, des réseaux sociaux et des transactions commerciales.
Babba COULIBALY
La deuxième session de la conférence des ordres des architectes de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Coa-Uemoa) se tient, depuis hier, dans un hôtel de Bamako..
Pour l’année 2025, SUNU Assurances IARD Mali, filiale du groupe SUNU, ambitionne de renforcer sa position et de reconquérir la 2è place du marché..
Au cours de la rencontre hier à la Primature, le Premier ministre a salué les acteurs du secteur privé pour leur résilience et leur contribution de qualité à la création de richesses, d’emplois et à l’approvisionnement correct et régulier du pays en denrées de première nécessité. Le.
En marge de l’ouverture des panels des dix ans de l’Autorité de protection des données à caractère personnel du Mali (APDP), le secrétaire général de l’institution, Arouna Keïta, a répondu à nos questions sur la «protection de la vie privée sur les réseaux sociaux».
Dix ans d’existence, c’est l’âge de la maturité pour une institution née d’un impératif fondamental : garantir à chaque citoyen le respect de sa vie privée dans un monde de plus en plus connecté où les données personnelles font l’objet de toutes sortes de convoitise..
Ils concernent le textile, l’agriculture, l’assistance humanitaire pour les populations vulnérables l’entrepreneuriat.
