Photo de famille des participants à l’atelier
La cérémonie
d’ouverture était présidée par le ministre de la Refondation de l’état, chargé
des Relations avec les Institutions, Ibrahim Ikassa Maïga. C’était en présence
du commissaire au développement institutionnel, Mamadou Dembélé, du deuxième
secrétaire politique à l’ambassade du Canada au Mali, Louis-Charles Coderre.
Selon le
commissaire au développement institutionnel, ces sessions d’appropriation de la
stratégie qui se dérouleront en deux temps, à savoir les 20-21 juin pour la
première et les 24-25 juin 2024 pour la deuxième, constituent une véritable
opportunité pour chaque participant de mesurer le poids de son rôle et de son
apport dans ce défi commun. Il a expliqué que ces ateliers se dérouleront sous
forme d’exposés, d’échanges et de plénières.
Mamadou
Dembélé a aussi rendu un hommage mérité au leadership éclairé des ministres de la Justice et celui
de la refondation de l’état dans la lutte implacable contre la corruption qui
gangrène nos structures publiques et un hommage mérité au partenaire historique,
notamment la Coopération canadienne pour son appui technique et financier dans
la mise en œuvre du PDI-2 et son accompagnement dans le cadre de la présente
activité.
Le
ministre de la Refondation de l’état, chargé des Relations avec les
institutions a expliqué que la lutte contre la corruption et la délinquance
financière est devenue une réalité, grâce à l’engagement des autorités de la
Transition, accompagnées en cela par les organisations de la société civile, du
secteur privé ainsi que les braves populations.
Pour
juguler ce fléau, il est apparu nécessaire de concevoir et adopter une
stratégie nationale de lutte contre la corruption, assortie d’un plan d’action
quinquennal, conformément au plan d’actions du gouvernement, dont l’axe 4 est
dédié à la promotion de la bonne gouvernance et à l’adoption d’un pacte de
stabilité sociale, conforté par les recommandations des Assises nationales de
la refondation, a soutenu le ministre chargé de la Refondation de l’État.
«C’est dans ce cadre que le gouvernement, sous l’impulsion du président de la
Transition a approuvé, le 21 septembre 2023, la stratégie nationale de lutte
contre la corruption et son plan d’actions 2023-2027. En vue d’afficher
davantage la volonté des autorités d’endiguer le phénomène, le dispositif
institutionnel de coordination et de suivi-évaluation de la stratégie nationale
de lutte contre la corruption vient d’être institué suivant le décret
n°2024-0335/PM-RM du 12 juin 2024», a évoqué le ministre Ibrahim Ikassa Maiga.
Et de dire qu’afin de réussir la mise en œuvre de cet important instrument
juridique, son département a initié cette série de sessions à l’intention de ceux-là mêmes qui sont chargés de son
application, en occurrence les organisations de la société civile, du secteur
privé, les universitaires, les représentants des confessions religieuses et les
cadres de l’Administration publique.
«Le processus engagé pour la Refondation
de notre État est irréversible. Un des piliers de cette refondation est
assurément la lutte contre la délinquance financière sous toutes ses formes,
soutenue par la culture d’une conscience citoyenne face aux biens publics. Au
regard de la pertinence des thèmes qui seront abordés et de la qualité des
experts chargés de les animer, je suis persuadé que vous tirerez tous, un
bénéficie certain des présentes sessions, qui ont pour vocation de vous
familiariser avec la stratégie nationale de lutte contre la corruption et son
plan d’actions 2023-2027», a fait savoir le ministre.
Avant de saluer l’accompagnement des partenaires techniques et financiers, en l’occurrence le Système des Nations unies à travers le Pnud et l’ambassade du Canada. Quant à Louis-Charles Coderre, il a remercié notre pays pour les efforts déployés en faveur de la lutte contre la corruption.
Sinè TRAORE
Au cours des travaux, les membres du comité ont abordé plusieurs sujets comme la situation sécuritaire de la région à travers une panoplie de thématiques, entre autres, les incivilités, la délinquance et les crimes, la tenue de manifestations publiques et leur encadrement, l’état sécuri.
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