
L'information a été donnée par nos confrères de « Africanews.fr », qui souligne que mardi, le ministre congolais des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, a estimé que la collaboration entre la Monusco et son pays a montré ses limites, dans un contexte de guerre permanente, sans que la paix tant attendue ne soit rétablie dans l’Est du Congo. Devant l’Assemblée générale des Nations unies en septembre dernier, le président congolais Félix Tshisekedi avait déjà réclamé le retrait accéléré des 15. 000 soldats de l’ONU. Cependant, l’Institution souhaite un « retrait progressif, responsable et durable ». Bien qu’aucun calendrier ferme n’ait été annoncé, les observateurs estiment qu’il est peu probable que le retrait soit accéléré avant la fin du cycle électoral en cours dans le pays.
Cette décision de la RDC intervient après celle des autorités maliennes relative au retrait de la Minusma du pays d’ici le mois de décembre prochain. Bamako reproche, elle-aussi, à l’ONU de ne pas pouvoir apporter la paix dans le Nord du pays pendant des années. Pis, ajoutera-t-elle, depuis l’arrivée de la Mission, l’insécurité a même pris une proportion fulgurante en se déplaçant dans le reste du pays.
Face à cette situation, les autorités maliennes ont décidé de mettre à fin à la mission des Nations unies et de prendre en main la lutte contre le terrorisme et le banditisme qui se sévissent dans le pays depuis plus d’une décennie. Résultat : Kidal a été repris par les Forces de défense et de sécurité à l'espace de deux mois et les terroristes et leurs complices séparatistes ont fui la région.
Sans doute, les autorités congolaises ont été inspirées par leurs homologues maliens en prenant la décision de mettre fin à la Monusco. Cela est d’autant plus compréhensible que la RDC est, elle-aussi, confrontée à une rébellion depuis plus de deux décennies.
Bembablin DOUMBIA
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