
Cette caravane sur la sécurité routière dans la zone d’influence du chantier, se poursuivra jusqu’au jeudi
Les caravaniers sont allés, hier, au contact des chauffeurs et conducteurs urbain évoluant sur l’axe Rail-da-Anneau sotrama, mais aussi des commerçants, des groupements de jeunes et de femmes. Cette caravane, qui a débuté lundi, se poursuivra jusqu’au jeudi.
Elle s’inscrit dans le cadre des campagnes d’information, de communication et de sensibilisation sur la problématique de la sécurité routière dans la zone d’influence de ce projet. Pour y arriver, l’Anaser et la DGR avaient préalablement signé une convention, conformément à l’accord de prêt n°2023-1033/PR ML 2021 du 03/07/21 que notre pays a signé avec la Banque ouest-africaine de développement (BOAD).
Cet arrange définit les missions et responsabilités des différentes structures concernées. «Mon Agence est chargée d’éduquer, d’informer et de sensibiliser tous les riverains de la RN 27 pour la bonne circulation avant, pendant et après les travaux», a expliqué le chef du département audit, réglementation et circulation routière à l’Anaser. Blaise Adama Dena prévient que la circulation ne sera pas facile pendant la période des travaux (36 mois).
Ainsi, son Agence, à travers diverses actions, s’attèlera à trouver des issues de transit pour les usagers. Il a exhorté ces derniers au respect des consignes en vue de rendre la circulation plus fluide. L’élu communal et président de la commission domaniale de la Commune I, Moussa Barry, a salué l’initiative. Il a invité les acteurs à respecter le délai et les normes requis pour une grande durabilité des voies qui seront réaménagées.
Avant de se réjouir du fait que ce projet d’aménagement permettra à sa commune et aux deux autres concernées (II et III) d’avoir une belle apparence. Cela, a-t-il ajouté, va aussi mettre fin à la circulation alternée pour cause de trafic, sur cet axe.
Et le représentant du maire de la Commune II, Tiéwoulé Dembélé, de renchérir : «La fin des embouteillages des bords du goudron est proche.»
Anta CISSÉ
À Bamako, un phénomène intrigant semble se confirmer : un «dress code chic» spécialement réservé aux enterrements. Discret, élégant, mais toujours parfaitement calculé, ce style vestimentaire s’est imposé chez certaines grandes dames de la capitale, et il suit des règles bien précise.
Des comportements qui jurent avec la décence et la compassion, sont observés lors des enterrements. Causeries animées, éclats de rire, agitations autour des repas, utilisation des réseaux sociaux, tout semble être permis aujourd’hui dans les lieux des funérailles. Les familles endeuillées .
Le ministère de l’Élevage et de la Pêche a abrité, vendredi denier, la cérémonie d’ouverture du Dialogue politique avec les Partenaires techniques et financiers du Groupe de dialogue élevage et pêche (GDEP)..
Dr Mariam Djibrilla Maïga est de ceux qui ont posé les jalons de la Commission nationale de lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre à travers son organisation dénommée la Coalition nationale des associations de la société civile dans le cadre de la lutte contre .
Le Projet d’appui à la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite phase 2 (Luccei2) a tenu, hier dans la salle de réunion du ministère de la Refondation de l’État, son comité de pilotage..
Le projet de budget de l’Agence malienne de la métrologie (Amam), toutes sources de financement confondues, se chiffre en recettes et en dépenses pour l’exercice 2025 à 1,25 milliard de Fcfa contre 1,11 milliard de Fcfa, soit une augmentation de 12%..