La représentante du ministre chargé de l’Enseignement supérieur, Kadidiatou Bouaré et le directeur général de l’établissement supérieur, Douga Nassoko
L’ENSup a donc tenu, hier dans ses propres installations, la 10è session
ordinaire de son conseil d’administration. La réunion était présidée par la
représentante du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
scientifique, Kadidiatou Bouaré, en présence du directeur général de
l’établissement supérieur, Douga Nassoko.
L’ordre du jour portait essentiellement sur l’adoption du compte rendu et le point d’exécution des recommandations de la précédente session, mais aussi sur le rapport d’activités 2022-2023 et les perspectives 2024. Il s’agissait aussi de se prononcer sur le contrat annuel de performance, ainsi que le rapport annuel de performance et le projet annuel de performance. Les administrateurs ont aussi opiné sur le projet de règlement intérieur.
Le projet de budget 2024 de l’établissement est équilibré en recettes et en
dépenses à environ 2,3 milliards de Fcfa.
Le directeur général de l’ENSup a expliqué qu’en 2023 sur le plan académique, toutes les activités pédagogiques ont été effectuées. Ajoutant que les nouvelles recrues ont commencé en janvier 2024. Pour lui, il y a eu une satisfaction sur le plan pédagogique.
Concernant les difficultés, Douga Nassoko a rappelé que celles-ci sont
généralement d’ordre financier. Et de dire que les activités programmées ne
sont pas réalisées du fait des restrictions budgétaires. Il a aussi évoqué
d’autres problèmes, notamment l’instabilité des enseignants à cause de
multiples grèves. À ses dires, cela impacte le déroulement des activités
pédagogiques.
À tous ceux-ci, s’ajoute le contexte international, et celui
socio-économique avec une flambé des prix. «Nonobstant les difficultés, nous
avons pu honorer nos engagements face à la satisfaction des charges financières
dues à notre cahier de doléances avec les syndicats et du côté des étudiants
également», a expliqué le directeur de l’ENSup, assurant qu’ils ont pu payer
les charges sociales (salaires et sécurité sociale) des agents sur ressources
propres de l’établissement.
La représentante du département en
charge de l’Enseignement supérieur a rappelé qu’en perspectif pour l’année
universitaire 2023-2024, l’ENSup, parallèlement à sa mission de formation
professionnelle initiale, se propose, entre autres, d’améliorer la performance
du service de la formation continue, de soutenir les actions du centre de
formation ouverte à distance et le E-learning (Foadel).
Mais aussi de
poursuivre les activités de la revue scientifique : «Les cahiers de l’ENSup»,
et de renforcer le cadre partenarial existant pour une plus grande visibilité
des actions académiques et pédagogiques. Enfin de poursuivre les travaux de
constructions de la nouvelle ENSup à Kabala. Kadidiatou Bouaré a invité les uns
et les autres à jouer pleinement leur partition dans la formation des
formateurs et dans la construction de la quatrième République (Mali Kura) pour
le bonheur du peuple malien.
Amsatou Oumou TRAORE
Dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale contre le travail des enfants (JMTE), l’Association de bienfaisance pour l’enfance au Sahel et les initiatives citoyennes (Besic) a organisé, vendredi dernier à la Cité des enfants à Niamakoro, une journée de sensibilisation sur le t.
C’était indéniablement une belle fête. De nombreux invités ont répondu présent au Bal de costumes traditionnels organisé, le week-end dernier sur l’esplanade du Centre international de conférences de Bamako (CICB), à l’initiative de la direction générale de l’Office de radio et tÃ.
Notre pays doit continuer à accomplir de gros efforts dans l’amélioration de la santé de la femme et de l’enfant pour répondre aux défis.
Le défi de l’élimination de cette maladie est à portée de main. À condition que la prévention soit menée efficacement et que les malades soient prises en charge correctement dans des unités de soins appropriées.
En prélude à la Journée internationale pour l’élimination de la fistule qui sera célébrée demain, l’Office national de la santé de la reproduction (Onasr) a organisé, mercredi à son siège à l’ACI 2000, une conférence de presse sur la fistule obstétricale sous le thème : «Intens.
L’origine de son port remonte à des siècles dans les sociétés africaines où elle symbolisait notamment la richesse. De nos jours, les femmes habillent leurs chevilles par plaisir et pour l’élégance.