Intitulé «À l’ombre des lumière», le clip du morceau est déjà disponible sur Youtube. Clip à travers lequel les artistes proposent des «messages très humains».
Le clip est somptueux à travers ses décors, son style simple et sans fioritures. Le titre est une très belle conclusion de l’album éponyme qui est sorti en fait le 25 juin 2021.
Figure discrète de la scène Rap française, Hös Copperfild est prêt à sortir de l’ombre dans laquelle il aime se fondre. Originaire de Villeneuve Saint-Gorge, dans la banlieue parisienne, l’artiste de 29 ans a commencé la musique étant au collège. Bercé par les sons de la Mafia K 1 Fry, 113, Sniper et de Youssoufa, il affûte sa plume jusqu’à séduire ses aînés et se retrouver à l’âge de 15 ans sur les compilations rap de l’époque.
Il est connu comme un artiste qui fait des textes forts amplis d’émotions et de références qu’il débite avec fougue ou mélodie, celui qui rappe sa vie sans trop détailler, raconte le quotidien de l’autre côté de la Tour Eiffel et la tristesse des cités soulagé par l’amour des proches.
Youssouf DOUMBIA
«Allah ndèmè», littéralement Dieu aide moi. Les mélomanes se souviennent encore de cet air aux allures de cri du cœur et qui a fait tabac au-delà de nos frontières. L’auteur de cet opus, Adama Namacoro Fomba, s’est éteint samedi dernier à Dioïla. Il laisse aux mélomanes maliens troi.
Pour cette rencontre majeure sur la culture, l’artisanat, le tourisme et l’industrie hôtelière, les initiateurs ont mis les petits plats dans les grands. Les mille places de la salle Djéli Baba Sissoko du Centre international de conférences de Bamako (CICB) n’ont pas suffi pour accueillir .
C’est sans exagération aucune l’un des piliers de l’art dramatique de notre pays qui s’en est allé. Il a quitté définitivement la scène après avoir perdu la dernière bataille qu’il livrait contre la maladie..
Cette entreprise de presse propose pour l’année 2025, un continu diversifié avec des émissions de débats, de divertissement, mais aussi des séries télévisées filmées par elle-même.
Le directeur général du Pari mutuel urbain (PMU Mali), Fassery Doumbia, a animé, mardi dernier dans ses installations, une conférence de presse sur les réalisations de l’année écoulée, les projets de la société pour la nouvelle année, avant de présenter les vœux du PMU à nos compatri.
Il y aura, désormais, à l’initiative de l’Association «Yamarou photo» les prix «Ibibi», noir en langue sonhraï, pour impulser un nouvel élan à la photographie africaine contemporaine. Ces récompenses représenteront un espace de création, d’échanges et de reconnaissance du talent d.