
Choguel Kokalla Maïga a été accueilli par des membres de la famille politique de l’illustre disparu
À l’occasion de la célébration des 46 ans de la
disparition du père de l’indépendance, le Premier ministre Choguel Kokalla
Maïga a, au nom du président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, procédé
hier au dépôt de gerbe de fleurs sur la tombe de l’illustre homme politique, au
cimetière d’Hamdallaye. C’était en présence des membres de la famille politique
et des proches de celui qui a dirigé le Mali de 1960 à 1968.
Après avoir accompli le rituel, le chef du gouvernement s’est adressé à
la presse pour rendre un hommage appuyé à feu Modibo Keïta et a rappelé qu’il
est l’un des pères fondateurs de notre pays. «Nous sommes fiers de
continuer son œuvre», a exprimé Choguel Kokalla Maïga.
En cette période de Transition où les autorités s’attellent à relever un certain nombre de défis comme le défi sécuritaire, le Premier ministre a saisi l’occasion pour lancer à nos compatriotes de l’intérieur comme de l’extérieur un message d’unité, de tolérance et d’union sacrée.
Madiba KEÏTA
Dans un communiqué rendu publié hier, le président de la Maison de la presse du Mali, Bandiougou Danté, informe l’opinion nationale et internationale que dans la journée du 4 mai dernier, le siège de sa structure sis à Médina coura en Commune II du District de Bamako a été envahi par des.
Par décret N°2025-0268 du 25 avril 2025, le président de la Transition a institué une opération dénommée «Dougoukoloko» visant à rétablir l’État du Mali dans ses fonctions régaliennes sur toute l’étendue du territoire national, en s’appuyant sur l’action des Forces armées et .
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .
Le Président de la Transition et Président de la Confédération des États du Sahel (AES), le Général d’armée Assimi Goïta, a, dans un communiqué rendu public hier, annoncé que le Collège des Chefs d’État de la Confédération AES regrette la destruction d’un drone des Formes armé.