Ces messages, selon la Banque centrale, mettent en
exergue la lettre d’identification du billet en image pour lui attribuer un
caractère faux, arguant que tout billet ne portant pas la lettre «K» serait un
faux.
Cette information malveillante, indique le communiqué, est
de nature à créer une confusion au sein des populations de l’Union monétaire
ouest-africaine (Umoa) et à constituer une entrave à l’acceptation de la
monnaie ayant cours légal. «Elle pose notamment la problématique de la compréhension
par une frange de la population de l’Union des règles d’authentification des
billets émis par la Banque centrale», dénonce l’institution financière.
Sur son site internet (www.bceao.int), la Bceao rappelle au
public que les lettres A, B, C, S, D, H, K, et T qui figurent sur les billets
de son émission sont destinées à d’autres fins que celles d’authentification. À
cet égard, les billets portant n’importe laquelle des lettres susvisées ont
cours légal et pouvoir libératoire dans chaque État membre de l’Umoa comprenant
le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le
Niger, le Sénégal et le Togo.
La Banque centrale réaffirme qu’en vertu des textes en
vigueur, ces billets, une fois authentifiés, doivent être obligatoirement
acceptés comme moyens de paiement dans les transactions entre les agents économiques,
notamment par les vendeurs de biens et services.
Elle rappelle aussi que les
modalités d’authentification, par le grand public, des billets de son émission
figurent sur son site internet sous le lien «Caractéristiques des billets Bceao».
Et de prévenir que tout refus d’acceptation d’un billet ou d’une pièce ayant
cours légal et pouvoir libératoire dans un État membre de l’Union constitue une
infraction sanctionnée par les textes en vigueur.
Anne Marie KEITA
En plus des ménages, les boulangeries font partie des grands utilisateurs du bois de chauffe dans la fabrication du pain.
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Au-delà de son caractère social, la tontine représente une sorte d’épargne en prévision des dépenses et pour financer des projets pour les adhérents. Elle est également considérée comme un instrument économique et de prévoyance des difficultés qui peuvent survenir.
Cette rencontre de deux jours devrait déboucher sur des propositions dont la mise en œuvre va permettre au marché régional de jouer pleinement son rôle dans la promotion des échanges commerciaux de produits agro-sylvo-pastoraux et dans la gestion de la sécurité alimentaire des populations.