
Ces messages, selon la Banque centrale, mettent en
exergue la lettre d’identification du billet en image pour lui attribuer un
caractère faux, arguant que tout billet ne portant pas la lettre «K» serait un
faux.
Cette information malveillante, indique le communiqué, est
de nature à créer une confusion au sein des populations de l’Union monétaire
ouest-africaine (Umoa) et à constituer une entrave à l’acceptation de la
monnaie ayant cours légal. «Elle pose notamment la problématique de la compréhension
par une frange de la population de l’Union des règles d’authentification des
billets émis par la Banque centrale», dénonce l’institution financière.
Sur son site internet (www.bceao.int), la Bceao rappelle au
public que les lettres A, B, C, S, D, H, K, et T qui figurent sur les billets
de son émission sont destinées à d’autres fins que celles d’authentification. À
cet égard, les billets portant n’importe laquelle des lettres susvisées ont
cours légal et pouvoir libératoire dans chaque État membre de l’Umoa comprenant
le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le
Niger, le Sénégal et le Togo.
La Banque centrale réaffirme qu’en vertu des textes en
vigueur, ces billets, une fois authentifiés, doivent être obligatoirement
acceptés comme moyens de paiement dans les transactions entre les agents économiques,
notamment par les vendeurs de biens et services.
Elle rappelle aussi que les
modalités d’authentification, par le grand public, des billets de son émission
figurent sur son site internet sous le lien «Caractéristiques des billets Bceao».
Et de prévenir que tout refus d’acceptation d’un billet ou d’une pièce ayant
cours légal et pouvoir libératoire dans un État membre de l’Union constitue une
infraction sanctionnée par les textes en vigueur.
Anne Marie KEITA
À l’instar des autres communautés chrétiennes, celle du Mali a célébré, dimanche dernier, la fête de Pâques dans notre pays. Dans les différentes églises, les fidèles chrétiens ont témoigné de leur foi en Christ à travers des liturgies..
Dans un mois, les délestages quotidiens seront de mauvais souvenirs pour le Centre de sante communautaire (Cscom) de Sibiribougou en Commune IV du District de Bamako..
Les maladies animales contribuent à la perte de revenus pour les éleveurs et constituent un danger pour les consommateurs.
La production céréalière de l’Office de développement rural de Sélingué au titre de la campagne 2024 est estimée à 73.385,16 tonnes contre 71.403,29 tonnes en 2023, soit une hausse de 2,68 %.
Ce document stratégique va s’attaquer aux défis liés au changement climatique et en particulier au nexus «climat, paix et sécurité». La Coopération belge, l’Autorité du Liptalo-Gourma et le Pnud contribuent à son élaboration.
Oumar Konté a été porté à la tête de cette solide institution financière qui garde le leadership au plan national et le peloton de tête des banques performantes à l’échelle Uemoa.